On se demande comment fuir la figure de l’auteur, son culte, son non-culte, son image, son invisibilisation. La théorie du Murgrave est précieuse à nos yeux en ce qu’elle détourne la théorie de l’anonymat de l’auteur, cette figure née de notre lecture, si chère à nos cœurs multiples, pour la déplacer vers la labilité des identités qui nous viennent en rêves.
A lire en intégralité sur le site d’Amélie Lucas-Gary qui a hébergé dans son journal de résidence ce texte au genre mouvant :